Les Rebuts de Presse
Télérama "Spécial Nord"
DUQUESNOIT aime le mot dit. Il y va fort en jouant
ainsi avec le titre de l'un des plus grands chefs‐d'œuvre du cinéma.
Jean‐Claude Duquesnoit n'est pas
à ça près quand il s'agit de faire un bon mot. Il
faut dire que cet homme a toujours eu la passion de la langue et de son
détournement. Avec lui esprit et humour filent le parfait amour.
L'humanitéJean‐Claude
Duquesnoit est sans aucun doute un des meilleurs représentants
de la cohorte pléthorique des humoristes qui battent le rappel.
Des bouffons on en a besoin et on ne crache pas dessus a condition que
leurs arguments soient à la hauteur. C'est le cas en ce qui concerne
notre nordiste. Le calembour surmultiplié est sa marque de fabrique.
Non, loin de Bobby Lapointe et de Raymond Devos, il enfile à un
rythme effréné des perles de langage jamais toc, conviant
le spectateur à une gymnastique mentale exigeante, et c'est tant
mieux. Même si à la fin du spectacle, il offre à chacun
une bière du Ch'ti; Jean‐Claude
Duquesnoit, ce n'est pas de la bibine !
Jean‐Pierre SIMEON Le Dauphiné
Sa Déclaration d’Humour est de la meilleure
veine, large, profonde et riche de mille joyaux. Que dire du texte. Il
part doucement et gentiment, passe au trot, ralentit et repart puis tout
à coup il s’élance, plonge dans l’océan
de nos paradoxes rebondissant sans cesse en pirouettes et cabrioles. Du
grand bonheur.
Festival Avignon off. |
La Voix du Nord
La croisière s’est (bien) amusée avec Jean-Claude Duquesnoit … le dernier bon mot de la semaine a été laissé à l’un des chansonniers attitrés du Théâtre des Deux-Anes : Jean-Claude Duquesnoit… Grain de folie, déferlante de calembours, portraits décapant d’une société qui s’en va à vau-l’eau. On songe à Bedos pour le regard acéré et sans concession sur les turpitudes du microcosme politique, à Devos plus encore et à son univers si cohérent qu’il en devient absurde… Avec ce magicien du verbe, les mots sont autant de colombes qui se laissent docilement extraire du chapeau pour s’envoler aussitôt au firmament de la langue. Plus d’un siècle après Rimbaud, cet autre naufragé volontaire de l’écriture qui n’avait pas son pareil pour jeter l’encre, Jean-Claude Duquesnoit a définitivement fait du Costa Voyager un bateau ivre. De bonheur celui-là. Juillet 2013.
Juillet 2013. Bruno Dewaele. Lyon Matin
Des textes d’une solidité à toute
épreuve débités à une cadence infernale. On
se sent frappé par la densité de l’écriture,
par le souffle brûlant qui s’échappe de cet artiste
à la fois original et sans concessions.
Boris ORGOGOZO. Le Maine Libre
Jean‐Claude Duquesnoit
utilise le mot dans toute sa splendeur, pour les sens et contresens qu’il
permet, pour les étincelles qu’en jeux il peut faire jaillir.
A toute allure, sans respiration, l’auditeur doit être d’une
diabolique attention s’il ne veut pas en perdre plus d’un
tiers.
Jacques GUICHARD |
La Provence
Visage impassible, nœud papillon, ce pince sans
rire sait en quelques tours de mots vous titiller le zygomatique jusqu'à
déclencher le fou rire. C'est qu'il est bien outillé l'artiste
! Pas de grimace, pas de jeu forcé, simplement le mot. Le mot comme
on ne l'a jamais entendu : jamais gros, jamais gras, toujours subtil et
poétique. Il nous parle de tout ce qui nous est familier : la politique,
le couple, la publicité… il nous parle de nous, sans aigreur,
recréant notre quotidien dans l'enchantement de son acrobatie verbale.
Jean‐Claude Duquesnoit forge sa
verve avec passion dans le fer de la dialectique et vous convie a une
véritable leçon de langue.
Alexandra MUSSEAU |
Le Petit bleu du Lot et Garonne
Hier soir, Jean Claude DUQUESNOIT a fait mouche. L'humour
à fleur de peau de cet escrimeur de la langue française
a ravi le public des "Coups de théâtre' Chez Jean Claude
Duquesnoit, tout est dans la mesure. Son propos est calculé à
la virgule près. Du rythme, du rythme et encore du rythme. Son
délire logique et ordonné a captivé un public étourdi
mais attentif. Ce soir là, rien n'avait plus d'importance, sauf
sur scène un bonhomme de noir vêtu qui nous a fait vivre
un moment de bonheur.
Christophe BOUTET |
La Voix du Nord
Jean Claude Duquesnoit présente un spectacle
débridé prétexte à une avalanche record de
jeux de mots. Impassible, imperturbable, son style tient du chansonnier,
de l’artificier à l’heure du bouquet, du pégase
du calembour.
Michel LECOEUR Sud‐OuestJean‐Claude Duquesnoit
a incontestablement fait montre d'un génie grammatical hors pair
et d'une saveur linguistique digne du cinq étoiles au guide Pivot.
Napoléon avait, dit‐on, sept tiroirs ouverts en permanence Il n'en
fallait pas moins pour suivre ce missionnaire de la haute voltige verbale
dans le grand cirque grammatical qu'est la langue française.
Jean‐Marie CALLEN Le Quotidien de Paris
Barbu, en smoking, Jean‐Claude
Duquesnoit, maître ès jeux de mots jongle avec la langue
française. Émule de Bobby Lapointe, ses calembours font
mouche et sont d’un autre acabit que ceux du bébête
show.
Arnaud RAMSAY Passion Théâtre
Il attend devant l'entrée en aubergiste prospère
puis nous retrouve dans la salle. Costumer sombre, nœud papillon,
il nous harangue sur divers sujets de société. A ce jeu
le joute est endiablée. Les mots se déforment et renaissent
par un tour de passe-passe… Puis l'aubergiste courtois nous raccompagne
vers la sortie et nous offre le dernier verre de l'amitié. Je quitte
pensif ce spécialiste en vin et spirituel.
Alain NYIRI |
Est Républicain
Jean‐Claude Duquesnoit
aime le mot et le dit. Il;parle avec les mots de tous mais chez lui, ces
mots n'ont plus le même sens. Chaque phrase est prétexte
à un jeu de langage tantôt féroce, tantôt acide,
tantôt poétique selon l'humeur et l'instant.
Jean‐Luc GEORGES France Bleu Vaucluse
Le titre nous dit tout. Nous avons affaire à
un véritable jongleur de mots. Quand la locomotive DUQUESNOIT se
met en route, ce sont nos méninges qui fument. On reste époustouflé
par son débit et un peu frustré de ne pas tout saisir immédiatement.
Mélanie FEYS Nord‐EclairPremière règle: le spectateur doit avoir
l’esprit clair. Deuxième règle: le spectateur doit
avoir l’esprit très clair. Ces deux règles scrupuleusement
suivies, vous voilà prêts pour une heure de rires étouffés.
Les jeux de mots s’enchaînent, se bousculent, vous laissent
muets de peur de manquer les suivants. Vous voudriez endiguer le cours,
en arrêter le flot, en vain. En vingt comme en mille, c’est
le charme du bonhomme.
Bernard KRIEGER |