"Autant en emporte le ventre" - les rebuts de presse
La voix du Nord
"Un vrai menu cinq étoiles"
Trois ans après un premier passage remarqué au centre culturel, Jean-Claude DUQUESNOIT était de retour pour présenter sa dernière création « Autant en emporte le ventre » et le moins qu’on puisse dire c’est que les deux cents spectateurs ne sont pas prêts d’oublier leur soirée. L’artiste jongle avec merveille avec les mots. Il aime la poésie et la bonne chère. « Quand mon grand-père me racontait l’histoire du petit chaperon rouge, je me fichais de savoir si le loup avait mangé la grand-mère ! La seule chose qui m’intéressait était de savoir qui avait mangé la galette » …
… Durant une heure quinze, les jeux de mots s’enchaînent à une vitesse vertigineuse laissant parfois pantois le spectateur qui doit s’accrocher pour ne pas en perdre une miette.
… Derrière le « piano » Frédéric DESMARCHELIER, impassible subit les frasques de son partenaire. « La bedaine n’est pas l’étendard de la gourmandise, c’est la caisse d’épargne de l’estomac prévoyant. » « En période de disette quand les gros deviennent maigre, il y a bien longtemps que les maigres sont morts. »
… Une prestance sur scène et une excellente maîtrise de la langue française l’artiste à brillamment réussi son deuxième passage. …
Centre-Presse
"Des vers et du nez"
La salle est pleine comme un œuf. Sur scène, Frédéric DESMARCHELIER opère au piano d’où émane une bonne odeur de cuisine. Très vite de spectateur découvre que le piano du gourmet et le piano du pianiste ne font qu’un. Son partenaire, Jean-Claude DUQUESNOIT entre en scène : un fort en gueule et un fort en thème, un adepte des arts culinaires et littéraires… Pendant que l’un joue des gammes et des épices, l’autre joue des mots et des consonances. Le duo est « toqué » dans tous les sens du terme…
La Nouvelle République du Centre
"DUQUESNOIT remet le couvert"
Comme d’habitude avec DUQUESNOIT, les mots sont des tiroirs à sens multiples. C’est donc sans surprise que l’on découvre « Autant en emporte le ventre », titre de ce spectacle qui propose de célébrer la bonne chère et l’esprit rabelaisien…. Un spectacle fabriqué à partir de textes biens faits marchandés sur le marché de l’intelligence, concoctés par un chef virtuose et bien mis en sauce par Denis CACHEUX, maître queux de ce spectacle. Un spectacle trois étoiles plein de recettes inventives,
La Voix du Nord
"Jeu de mets et poule au pot"
… C’est au pied du Saumur qu’on voit le Macon…A vous les petits, les cent grammes, les ayatollahs de la minceur, les pas plus épais que Damoclès… C’était un boucher bilingue, langue de veau, langue et bœuf et il parlait l’onglet couramment…. Pour faire un bon pâté de tête, il faut savoir séparer le bon groin… et livrer ! »… Au rayon des calembours, Jean-claude DUQUESNOIT n’est pas le plus mauvais des épiciers et cet extrait n’est qu’un maigre échantillon de son spectacle. Autour de la bonne chère, de l’épicurisme et de l’amour de la table, l’artiste nous a concocté un menu de choix.
Jean-Claude DUQUESNOIT cuisine ses spectateurs, les laisse mijoter quelques secondes puis les fait revenir dans un grand éclat de rire. Son humour est riche mais jamais gras… Autant vous dire qu’après un tel festin, il ne risque pas de se prendre un bide !
Jean-Marie PETIT.
Nord Eclair
"Humour et gloutonnerie"
… Un hymne à la gloire de la bonne bouffe magistralement interprété par Jean-Claude DUQUESNOIT et Frédéric DESMARCHELIER. Plaisir des mots et plaisirs des mets, ce cabaret bouffe du plus bel effet est dégusté avec délectation par l’auditoire. Assurément le public est sorti repu d’un repas consommé sans modération et payé cash par un tonnerre d’applaudissements, un somptueux pourboire a ces deux artistes qui n’ont rien a envier aux grands noms de la bouffe française.
"Un vrai menu cinq étoiles"
Trois ans après un premier passage remarqué au centre culturel, Jean-Claude DUQUESNOIT était de retour pour présenter sa dernière création « Autant en emporte le ventre » et le moins qu’on puisse dire c’est que les deux cents spectateurs ne sont pas prêts d’oublier leur soirée. L’artiste jongle avec merveille avec les mots. Il aime la poésie et la bonne chère. « Quand mon grand-père me racontait l’histoire du petit chaperon rouge, je me fichais de savoir si le loup avait mangé la grand-mère ! La seule chose qui m’intéressait était de savoir qui avait mangé la galette » …
… Durant une heure quinze, les jeux de mots s’enchaînent à une vitesse vertigineuse laissant parfois pantois le spectateur qui doit s’accrocher pour ne pas en perdre une miette.
… Derrière le « piano » Frédéric DESMARCHELIER, impassible subit les frasques de son partenaire. « La bedaine n’est pas l’étendard de la gourmandise, c’est la caisse d’épargne de l’estomac prévoyant. » « En période de disette quand les gros deviennent maigre, il y a bien longtemps que les maigres sont morts. »
… Une prestance sur scène et une excellente maîtrise de la langue française l’artiste à brillamment réussi son deuxième passage. …
Centre-Presse
"Des vers et du nez"
La salle est pleine comme un œuf. Sur scène, Frédéric DESMARCHELIER opère au piano d’où émane une bonne odeur de cuisine. Très vite de spectateur découvre que le piano du gourmet et le piano du pianiste ne font qu’un. Son partenaire, Jean-Claude DUQUESNOIT entre en scène : un fort en gueule et un fort en thème, un adepte des arts culinaires et littéraires… Pendant que l’un joue des gammes et des épices, l’autre joue des mots et des consonances. Le duo est « toqué » dans tous les sens du terme…
La Nouvelle République du Centre
"DUQUESNOIT remet le couvert"
Comme d’habitude avec DUQUESNOIT, les mots sont des tiroirs à sens multiples. C’est donc sans surprise que l’on découvre « Autant en emporte le ventre », titre de ce spectacle qui propose de célébrer la bonne chère et l’esprit rabelaisien…. Un spectacle fabriqué à partir de textes biens faits marchandés sur le marché de l’intelligence, concoctés par un chef virtuose et bien mis en sauce par Denis CACHEUX, maître queux de ce spectacle. Un spectacle trois étoiles plein de recettes inventives,
La Voix du Nord
"Jeu de mets et poule au pot"
… C’est au pied du Saumur qu’on voit le Macon…A vous les petits, les cent grammes, les ayatollahs de la minceur, les pas plus épais que Damoclès… C’était un boucher bilingue, langue de veau, langue et bœuf et il parlait l’onglet couramment…. Pour faire un bon pâté de tête, il faut savoir séparer le bon groin… et livrer ! »… Au rayon des calembours, Jean-claude DUQUESNOIT n’est pas le plus mauvais des épiciers et cet extrait n’est qu’un maigre échantillon de son spectacle. Autour de la bonne chère, de l’épicurisme et de l’amour de la table, l’artiste nous a concocté un menu de choix.
Jean-Claude DUQUESNOIT cuisine ses spectateurs, les laisse mijoter quelques secondes puis les fait revenir dans un grand éclat de rire. Son humour est riche mais jamais gras… Autant vous dire qu’après un tel festin, il ne risque pas de se prendre un bide !
Jean-Marie PETIT.
Nord Eclair
"Humour et gloutonnerie"
… Un hymne à la gloire de la bonne bouffe magistralement interprété par Jean-Claude DUQUESNOIT et Frédéric DESMARCHELIER. Plaisir des mots et plaisirs des mets, ce cabaret bouffe du plus bel effet est dégusté avec délectation par l’auditoire. Assurément le public est sorti repu d’un repas consommé sans modération et payé cash par un tonnerre d’applaudissements, un somptueux pourboire a ces deux artistes qui n’ont rien a envier aux grands noms de la bouffe française.